Monaco, le rocher qui cache la forêt

Depuis quelques temps, la communauté VPMienne bruisse, s’agite et se passionne pour la campagne monégasque. Tous les ingrédients du feuilleton à succès sont en effet réunis dans cette compétition : un enjeu mirobolant (1000 crédit), un titre à faire prendre la grosse tête à Gandhi lui-même s’il s’inscrivait sur VPM (meilleur joueur de tout VPM), des cachoteries (des pseudos assurant l’anonymat, parfois relatif, des joueurs), du suspense (une campagne serrée où tous les coups semblent permis).

Pourtant, au milieu de cette allégresse populaire fort touchante, je ne peux m’empêcher d’exprimer des regrets. Non pas pour la qualité du spectacle digne de Secret Story (avec malheureusement moins de sexe), mais pour la qualité de la compétition. En effet, passé la débauche de crédit pour les inscriptions, qui si elle crée une sélection par l’argent permet de financer cette compétition hors norme, il est regrettable que l’on n’aie pas mis en place des règles dérogatoires permettant d’assurer une réelle égalité des chances entre joueur faisant fi des différences de revenu. En effet, la débauche de crédit de certain rompt, de façon irrattrapable, l’égalité de revenus des candidats et ne permet pas à chacun de défendre ses chances.

Des solution simples auraient pu limiter cette débauche de crédit : blocage de certaines fonctionnalités ou allocation d’un certain nombre de crédit/jour gratuits qui auraient permis de mettre chacun à égalité et de réellement déterminer qui était le meilleur joueur.

Je sais bien que VPM n’est pas un jeu égalitaire au quotidien et que ces disparités font partie du jeu. Cependant le caractère exceptionnel de cet évènement me paraissait justifier un environnement exceptionnel…

Alors je ne peux qu’exprimer mes regrets et souhaiter que la prochaine compétition permette un vrai match. Encore un effort Mr Bananus et nous auront un vrai tournoi….

Ellyrius est un jeune joueur de deuxième division, n’ayant aucune expérience du haut niveau. Bretono-polonais d’origine et donc alcoolique invétéré, il se permet d’avoir un avis sur tout sans avoir ni recul ni compétence particulière. Il est également passionné de littérature néanderthalienne et d’agronomie inuite, ce qui le désignait tout naturellement pour intervenir dans le débat monégasque.