[Roman VPMien] La vie politique #1

Hello hello les enfants !

Aujourd’hui, en nouveauté, je vais vous présenter une chose qui a sûrement déjà été faite sur VPM, une sorte de roman sur la vie politique de VPM, et du déroulement de ses campagnes. C’est parti pour la première partie de ce roman !

Chapitre 1 : les débuts

C’était la première fois que je me lançais dans une campagne électorale. Je ne me rappelle que vaguement ce qui m’a poussé à commencer. Il me semble, c’était un vendredi. Oui. Un vendredi d’octobre. Quand je me baladais dans les rues de ma ville natale, Bordeaux, j’ai vu une affiche. « Luman à Bordeaux, l’action suivra les mots. » Voilà ce que c’était. Je me rappelle maintenant…

Alors que je cherchais, à 18 ans, un sens à ma vie, cette affiche sonnait comme un espoir incroyable pour moi. L’espoir de trouver quelque chose à faire de ma sale vie, qui consistait pour l’instant, à dormir, me lever, manger, m’emmerder toute la journée, chercher du travail n’importe ou, et me recoucher. Un espoir de rompre ma vie ennuyeuse.

Je suis arrivé devant l’hôtel de ville de Bordeaux. Il parait qu’il fallait aller s’annoncer chez le maire de sa ville natale pour commencer une carrière politique. Je suis entré dans le bureau, et une personne qui ressemblant étrangement à l’homme que j’avais observé sur l’affiche m’accueillit.

– Vous êtes Luman ? M’enquiai-je.

– En personne, me répondit-il. Il parait que vous désirez commencer une carrière politique. Quelles sont les raisons qui vous y ont poussé ?

– Vous… Enfin, j’ai vu une de vos affiches. Je cherchais un métier, et ça a agi comme un déclic pour moi. Vous savez, ma vie ne se résume qu’à m’embêter à la maison et à chercher du travail !

– Intéressant… Alors… Pourrais-je vous demander votre nom ?

– Avec plaisir, monsieur Luman ! Alors, je m’appelle Nathan… Mais dans ma vie politique, je compte me renommer « Nati ».

– Parfait. Pour remplir la dernière partie qui me reste dans votre fiche d’inscription, pouvez-vous me donner vos ambitions ?
…

Je lui répondais avec impatience, celle de commencer enfin une « campagne », comme ils disent dans leur jargon. Quand je lui ai demandé ses ambitions, à lui, il m’a répondu qu’il se verrait bien président de la république. Quelle drôle d’idée, que je me suis dit.

J’ai le souvenir que cette nuit-là, je me suis couché le cœur léger. En m’imaginant une vie meilleure.

Fin

À suivre…